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Un ancien agent du MI5 explique que le 11 septembre
était un coup monté de l'intérieur

L'attaque était un "coup d'état" : les bâtiments se sont effondrés par démolitions contrôlées

Prison Planet | June 27 2005


Un ancien agent du MI5, David Shayler, qui avait déjà dénoncé le gouvernement britannique d'avoir versé à Al-Qaïda £200.000 (300.000€) pour procéder à des assassinats politiques, a refait parler de lui en faisant part de son intime conviction selon laquelle le 11 septembre était un coup monté de l'intérieur afin de créer un état d'urgence permanent en Amérique et de paver la route pour les invasions de l'Afghanistan, de l'Irak et en dernier ressort, de l'Ian et de la Syrie.

David Shayler a rejoint le MI5 en octobre 1991 et y a travaillé pendant cinq ans. Il a d'abord intégré la branche F (contre-subversion) en janvier 1992, puis il a travaillé à la branche T (terrorisme irlandais) d'août 1993 à octobre 1994. Il a quitté cette organisation en 1996.

Shayler a fait une apparition sur le Show d'Alex Jones pour lancer ce qui sera une campagne publique plus vaste pour informer [le plus grand nombre] au sujet des questions relatives au 11 septembre [demeurées sans réponses] ainsi que la corruption gouvernementale. Une fois encore, en s'exprimant, Shayler a risqué la prison. Le gouvernement britannique dispose d'une façon légale de le bâillonner et de l'empêcher de parler de son travail durant ses années au MI5. Mais comme ce dont Shayler a discuté avait déjà été rendu public [par ses soins] (une des conséquences fut son emprisonnement à deux reprises distinctes), il se sent à présent plus serein en apparaissant au grand jour.

Shayler a fouillé dans ses anciennes enquêtes ainsi qu dans les preuves qui ont conduit certaines personnes au sein du MI5 de conclure que les Israéliens avaient plastiqué leur propre ambassade en juillet 1994. Shayler a déclaré que les Israéliens avaient monté une machination contre deux Palestiniens qui sont toujours, à ce jour, en prison.

"La même chose est arrivée à deux Palestiniens qui furent inculpés de conspiration dans l'attaque de l'ambassade israélienne en Grande-Bretagne en 1994. Mais le MI5 n'a pas rendu public deux documents qui démontraient leur innocence. Le premier document indiquait que c'était un autre groupe qui avait mené les attaques ; et le deuxième, relatait la conviction d'un officier du MI5 selon laquelle les Israéliens avaient vraiment plastiqué eux-mêmes leur propre ambassade, par explosion contrôlée, afin de tenter d'obtenir une meilleure sécurité. Ces documents n'ont jamais été produits au juge du tribunal et à plus forte raison à la défense."

Shayler a expliqué que ses soupçons à propos du 11 septembre se sont éveillés pour la première fois lorsque le parcours habituel des enquêtes sur la scène du crime a été entravé par l'envoi maritime immédiat des décombres saisis vers la Chine.

"En fait, déranger une scène de crime est un délit et, pourtant, dans l'affaire du 11 septembre, tout le métal des buildings a été envoyé par bateau en Chine. On n'a fait aucune expertise sur ce métal. Et bien, cela me suggère qu'ils n'ont jamais voulu que quiconque examine ce métal parce qu'il n'aurait pas fourni la preuve qu'ils voulaient pour montrer aux gens que c'était [l'œuvre d'] Al-Qaïda."

Shayler a poursuivit en balayant la théorie de l'incompétence.

"Plus je m'intéresse à cette affaire, plus je réalise qu'il ne s'agit pas d'incompétence. Les officiers du FBI étaient partout dans le pays. Il est évident que c'est Colleen Rowley qui a réussi à obtenir une audition au Congrès et qu'il y avait sûrement une tonne de preuves." "Il y a tellement de questions qui nécessitent une réponse ! On a passé outre les protocoles au sein de la défense nationale ; des personnes ont été activement empêchées de mener leurs enquêtes. Il ne s'agit pas d'un hasard, ils avaient conscience que des renseignements indiquaient ce type d'attaques. Il y a eu des interceptions par le FBI dans les jours qui ont précédé les attaques qui le prouvent. Lorsque vous examinez tout cela, [il est évident que] les services de renseignements étaient au courant. Pourtant on les a empêchés de faire leur boulot, on les a empêchés d'essayer de protéger les Américains, et cela est criminel."


Puis Shayler est entré dans les détails, expliquant que ces preuves suggèrent que l'attaque a été conçue à l'origine pour être d'une bien plus grande envergure, et qu'il s'agissait d'une tentative de coup d'état violent destiné à décapiter l'ensemble du gouvernement, pour servir de prétexte à l'instauration de la loi martiale.

"Donc, vous observez une situation dans laquelle vous avez presque un coup d'état, parce que vous devez garder présent à l'esprit qu'il y avait des armes qui ont été découvertes sur les avions qui n'ont pas décollé le 11 septembre. A présent, les gens pensent forcément qu'ils allaient peut-être attaquer la Maison-Blanche et le Capitole. Pour moi, cela ressemble à une tentative de détruire le gouvernement américain et de déclarer l'état d'urgence. En fait : un coup d'état, un coup d'état violent." "On se pose tellement de questions là-dessus ! Et vous vous rendez compte une nouvelle fois qu'aucune demande de renseignements ne peut aller au fond des choses. [Ces gens-là] ne prennent pas en compte l'ensemble des preuves. Le plus souvent, lorsque qu'ils témoignent sous serment, ils ne produisent aucune preuve, alors qu'ils devraient le faire, particulièrement parce que c'est sous serment."

Shayler a affirmé sans ambiguïté que ces attaques avaient été planifiées et exécutées au sein des décideurs du complexe militaro-industriel..

"Ils ont laissé cela arriver. Il l'ont fait arriver afin de créer une étincelle qui permette de déclencher l'invasion de l'Afghanistan et l'invasion de l'Irak ; et, bien sûr, ce qu'ils essayent de faire maintenant est la même chose pour envahir l'Iran et la Syrie."

Shayler a fini par mettre en doute la nature hautement suspecte de l'effondrement des tours jumelles et du Building no7 - les premiers gratte-ciel de l'histoire qui se sont effondrés le même jour, à cause des seuls dégâts causés par un soi-disant incendie.

"J'ai vu les résultats d'explosions terroristes et ce genre de choses. Aucune explosion terroriste n'a jamais fait s'effondrer un gratte-ciel. Lorsque l'IRA a placé quelque chose comme des tonnes d'explosifs artisanaux en face du bâtiment du Baltic Exchange à Bishopgate et qu'ils ont déclenché cette bombe, toutes les vitres se sont brisées, le building a un peu tremblé, mais personne n'a jamais cru que le building pouvait tomber. Cela n'obéit pas aux lois de la physique. Les buildings ne tombent pas ainsi, [du moins] de la façon dont le World Trade Center s'est effondré [le 11/09/2001]. Vous disposez donc d'une comparaison des deux: si l'on compare l'effondrement du building no7 à celui des tours nord et sud, on constate que c'est la même chose : elles ont été [volontairement] démolies."

David Shayler a rejoint plusieurs dénonciateurs récents et crédibles avec lesquels il partage les mêmes sentiments au sujet de la véritable histoire qui se cache derrière le 11 septembre. [Il y a d'abord] Morgan Reynolds, l'ancien chef économiste du Ministère du Travail lors du premier mandat du Président George W. Bush. Il a publiquement mis en doute au début du mois [de juin 2005] l'effondrement inexpliqué du Building no7. Et aussi, Paul Craig Roberts, ancien Secrétaire-adjoint au Trésor sous la Président de Reagan, a fait part, la semaine dernière, de ses inquiétudes en déclarant que l'Administration Bush commettait les mêmes erreurs que les Nazis lorsqu'ils envahirent la Russie à la fin de l'hiver. Roberts met sérieusement en doute l'explication officielle du 11 septembre.

Ecoutez en anglais l'enregistrement dans lequel Shayler discute du 11 septembre.

Traduit de l'anglais par Jean-François Goulon